Un
bref récapitulatif de la falsification voyériste en cours est
nécessaire :
Le 28 décembre 2003, un individu postait
sous la signature commune Fantomas quelques réflexions sur la
dissolution de l’OT. Cela entraîna une levée de bouclier
immédiate de la secte voyériste parce que ces réflexions
n’étaient pas conformes à la petite haine que cette secte
voue, fort justement, aux téléologues. Ayant laisser dégorger
ces piailleuses, un second Fantomas, téléologue, posa des
questions au premier. A nouveau, les voyéristes
s’interposèrent de toute leur rage impuissante, en particulier
leur idiot du village, Kabouli. Il y eut deux nouveaux
messages du téléologue, le dernier le 9 janvier 2004. Ce
message, ‘Calomnie et voyérisme’, acheva de détruire Kabouli,
continua de démolir l’enculé Voyer sur le centre de sa théorie
et bousilla un certain nombre d’illusions de la petite secte,
qui piailla et hurla à on ne sait quel scandale, comme
d’habitude. Le téléologue n’eut pas besoin de répondre à toute
cette basse-cour qui ne comprenait pas ce qui se passait. Le
silence qui s’ensuivit sur le fil principal du site entre le
12 et le 20 janvier montra assez clairement que le dernier mot
était au téléologue qui signait Fantomas.
Le 20
janvier, un enculé voyériste, peut-être Voyer, entra, par le
login commun de la signature commune Fantomas, sur le message
qui avait laissé impuissante la petite secte furieuse,
‘Calomnie et voyérisme’. Il supprima – au sens Auschwitz – ce
message contre lequel il n’y avait eu aucun argument, et le
remplaça par un avis complètement contraire. Il avait ainsi
falsifié ce à quoi il ne savait pas répondre, et avait de même
attenté à toutes les réponses du même fil, qui s’en trouvèrent
encore plus ridicules, sauf la première, copié-collé jusque-là
incongru qu’on retrouve sur le site de Voyer, comme c’est
bizarre, et qui se trouva soudain pertinente, vous avez dit
bizarre ? Ne sachant pas répondre au téléologue, l’habile
falsificateur avait trouvé la solution voyérisatrice : il
supprimait ce qui l’embarrassait et revalorisait brillamment
le galimatias collé en réponse. Staline avait eu besoin d’une
ample police pour arriver à ce résultat qui étonnera toujours
les amis de l’irréversible, chez les voyéristes et sur le web,
c’est devenu possible : la réponse détermine la
question.
Les voyérisateurs n’avaient visiblement pas
été tous informés – la communication marche moyennement dans
et autour d’une secte où la méfiance est de mise, vu la
fiabilité des individus. L’un parla d’« inélégance », l’autre
prétendit qu’il pouvait s’agir d’une « erreur de manipulation
». Ce sont là des gens qui approuveront toujours tout ce qui
se fait contre les téléologues ; ils n’ont pas de principe
plus fort. Ils vendraient leur cul et celui de leurs amis pour
leur haine. Comme ils sont aussi dépourvus d’intelligence que
de principes, qu’ils voient toujours tout en petit, et qu’ils
ont pris l’habitude d’excuser l’inexcusable, ils ont,
conformément à leur pente, cherché à excuser l’inexcusable
falsification.
Le 22 janvier, le falsificateur méprisa
ouvertement ces dérisoires efforts de l’excuser, de combiner
sa conduite délibérée avec une honnêteté intellectuelle sur
laquelle il cracha tranquillement : il falsifia trois autres
messages de la même manière, y compris celui du 28 décembre
2003, qui avait déclenché les réponses du téléologue, montrant
par là qu’on falsifiera désormais tout ce qui n’est pas aligné
sur la position officielle de la secte voyériste, pas
seulement les téléologues. Toute excuse d’une falsification
aussi franche et délibérée était devenue grotesque. Ce même 22
janvier, un falsificateur, probablement le même, changea le
mot de passe du nom commun Fantomas pour se l’approprier
privativement. Quoique sur ce site même des voyéristes se
trouvèrent soudain dépouillés de cette signature qui leur
appartenait en commun, personne ne protesta contre ce putsch
de clavier (pas Christian).
Cette nouvelle mesure non
plus n’a pas suffi à faire taire les téléologues qui, depuis,
supposent de manière de plus en plus précise que l’enculé
Voyer a les deux mains dans la pâte, car enfin, il faut bien
se demander ce qui semble tabou sur ce site : c’est qui ? Et
comme les voyérisateurs n’ont toujours pas d’autre argument
que la logique de salle de réunion du comique de bureau Koin,
Passepasse est passé à la crapulerie suivante, qui est déjà
très ancienne et même fondatrice de la secte : l’usurpation de
signature. Aujourd’hui, 23 janvier 2004, le falsificateur a
publié un message, puis un autre, signés Adreba Solneman, mais
qui ne sont pas d’Adreba Solneman, je suis bien placé pour le
savoir.
Comment est-ce possible sur un site où les
login sont protégés, notamment celui d’Adreba Solneman ? C’est
très simple. La signature Adreba Solneman, depuis que je l’ai
inscrite dès le début du site, comporte un tiret bas (_) entre
les deux mots qui le composent. Le falsificateur a tourné la
difficulté en préemptant le nom Adreba Solneman sans tiret.
C’est par ce tiret que l’on doit désormais vérifier
l’authenticité de cette signature. Je pourrais, par exemple,
préempter cinq Jean Pierre Voyer : un tel quel, un avec trait
d’union, un avec tiret bas, un avec une espace supplémentaire,
un en supprimant l’espace entre les deux prénoms, un cinquième
avec J point Pierre Voyer, etc. Je ne ferai évidemment rien de
tel. A chacun ses armes : les téléologues se battent avec des
arguments, les voyéristes avec des falsifications. Les
téléologues occupent en vainqueurs le terrain de la théorie,
les voyéristes occupent en vainqueurs le terrain de la triche.
Et leur différence fondamentale est bien expliquée par cette
simple et irréconciliable opposition.
Les voyéristes
ont intérêt à forcer la fermeture d’un site où toutes leurs
crapuleries et en particulier celles de leur gourou sont
constamment mises en exergue, ce à quoi ils ne peuvent
évidemment pas répondre. Le falsificateur cache seulement
encore son identité qui ne restera pas longtemps secrète (pas
facile d’avoir le courage de ses crasses), mais en aucun cas
il ne cache son parti pris net et décidé de falsifier. Les
suivistes un peu en retard ne peuvent même plus utiliser leur
ancienne panoplie d’excuses foireuses, brutalement
ridiculisées par l’action de la crapule : pas grave,
plaisanterie, erreur, dérapage sans importance. Car cette
falsification-là, en plusieurs étapes, ne ressemble en rien à
de l’humour ou à de l’impulsion et ne se laisse pas facilement
minimiser.
S’il reste encore des doutes sur
l’honnêteté de Voyer à quelques suivistes bienveillants, il
faudra, puisque leur salope d’idole n’a pas pris position
contre les falsifications faites à son avantage exclusif
depuis trois jours, les compter désormais parmi les
lobotomisés, ou les fous de vieux, ce qui est pareil. Et que
ceux-là se désolent : l’opération qui consiste à critiquer la
théorie hâtive, mal ficelée et périmée qu’on appelle désormais
théorie de la communication infinie et de la résignation n’a
pas besoin du commode Debordel. Je ne chercherai donc en rien
à sauver ce site dont l’intégrité a disparu, et où la
falsification peut interdire ce que les gens d’honneur
appellent une parole.
Re: Nouvelles du front « Reply #1
on: 24.01.04 at 09:44:04 »
Il
serait interessant, pour clarifier le débat (car le débat est
nécessaire, n'est ce pas ? -visiblement autant aujourd'hui
pour les journaleux que pour la téléologie moderne
auto-dissoute) de nous préciser que signifie le terme
"téléologue" que vous employez. Nos interlocuteurs sont ils
des ex-téléologues ? des non-téléologues ? des
téléologues ressuscités ? des revenants téléologiques? des
reliquats téléologiques? des golems? Le téléologue existe t'il
ou non? Et si non comment se fait il qu'il continue à
tant causer dans le poste? Etait il déjà mort depuis le début?
Qui cause et au nom de quoi?
Il serait opportun
d'appréhender "téléologue", terme d'ailleurs aujourd'hui
autant autodéfinitionnel qu'autodissous selon deux angles
d'approche différents: Pourquoi pas parler de "Téléology" et
de "Téléologics" ?
Le Téléology n'existe pas, bien sûr,
vous en conviendrez, n'est ce pas? mais il ne le sait pas, ce
qui est somme toute un peu embêtant pour lui.
Le
Téléologics en revanche existe, ou plutôt existait. Son
autodissolution étant à l'évidence sa meilleure preuve
(ontologique!). Je suis ce que j'étais. Je suis ce que j'étais
censé être. Ne me questionnez pas, je suis plus là. Je suis
plus là mais je me défend quand même. Avancer des arguments?
je ne peux pas, je suis autodissous. Je suis ce que j'étais.
C'est tellement facile, tellement confortable.
Comment, en effet, Téléologics peut il se définir en
acte, en corpus, en thèse, en tant que ligne de pensée, quand
il ne peut produire que du plâtre verbeux sans signification,
sans réflexion? En fixant ses futiles gesticulations verbeuses
et ampoulées dans la mort d'un passé qu'il prétend glorieux.
Ce côté "marseillais" confine à la mythomanie voire à
l'autofalsification: en effet, même en remuant pesamment du
popotin comme ils l'ont toujours fait, comment prétendre à une
pensée que l'on est incapable de la produire? Comment donner
post-mortem l'illusion d'une profondeur qu'on est incapable de
justifier, sinon en trichant un peu?
Nos
collectionneurs de chromos d'émeutes sont devenus les
bibliothécaires staliniens exclusifs d'eux mêmes: malheur aux
"falsificateurs" qui ne suivent pas la ligne officielle de
leur rêve éveillé: cette opinion autosatisfaite qu'ils se font
de leur "eux-même d'avant".
Calomnie et voyérisme « Reply #2
on: 24.01.04 at 09:54:00 »
Hello
enculé : et les arguments ci-dessous auxquels tu ne peux
toujours pas répondre, comment tu les fais disparaître cette
fois-ci ?
Calomnie et voyérisme
Comme je l’avais montré, tout ce que l’imbécile
permanent Kabouli dit de l’OT est de la calomnie qu’il est
incapable de soutenir. Il en est apparemment de même pour le
reste des sujets qu’il aborde et qu’il ignore visiblement tout
autant, plaquant seulement son ready-made gauchiste et
quelques maladroites provocations infantiles du maigre
ordinaire voyériste sur tout ce dont il parle en pantin
approximatif.
Cet imbécile crapuleux est manifestement
incapable de montrer où l’OT aurait dit ce qu’il lui prête, et
qu’il a donc inventé dans son crâne de con. Sur un seul point
il fait marche arrière, mais pour garder la fesse, qui a
définitivement la marque de la semelle de ma nique, ce Bueno
du voyérisme (le mensonge en moins, pour l’heure) prétend que
si l’OT n’a dit nulle part que la matière n’existe pas, c’est
que cet OT cacherait ses vraies intentions ! On peut
difficilement rencontrer un petit merdeux plus
merdeux.
Mais on en rencontre. Car c’est exactement de
cette manière que l’enculé Voyer avait mis dans la bouche de
Debord ce que Debord n’a dit nulle part, avec de beaux
guillemets en prime pour tromper le public et faire croire que
Debord avait dit ce que Voyer voulait dénigrer. L’imbécile
Kabouli n’invente rien : quand il calomnie, quand il affirme
publiquement des choses qu’il ne peut pas soutenir, il ne fait
que ce qu’il croit permis par son falsificateur de maître,
qu’il copie. Le chienchien Kabouli ne semble d’ailleurs avoir
été retenu dans la secte voyériste, en bon gogo de la pub, que
par le goût si commun pour la provocation ironique dans lequel
il essaye désormais de se planquer après la fessée qu’il vient
d’essuyer. Mais même là, l’empoté pas doué n’arrive à faire
sourire qu’à ses dépens, bien qu’il calomnie et affabule
encore, et toujours : nulle part comme il feint de s’en
indigner, je n’ai prétendu que ce con de base critiquerait les
autodidactes ! Comme si ce con de base critiquait quoi que ce
soit ! Au mieux il est capable de calomnier, de baver,
d’extrapoler en péteux qui espère être applaudi ; mais
critiquer, il sait aussi peu ce que c’est que l’aliénation
chez Voyer ou chez l’OT.
Car pour critiquer il faut
respecter la vérité, et la vérité est précisément l’absente de
toujours chez l’enculé Voyer et dans la secte dont il est le
gourou avarié. Les voyéristes sont une secte néosophiste dont
Toto a parfaitement indiqué l’estime qu’elle a de la vérité
dans ce qui pourrait très bien devenir leur devise : « Comme
c’est bien dit, et comme c’est vrai donc. » De même, l’enculé
Voyer, en reprenant le délirant roman de Weltfaux sur la
psychologie d’Adreba Solneman comme bouée de secours contre
l’accusation de falsification, valide le pseudo, l’invention
rhétorique, la supposition sur une intention, contre les
arguments. Mais tout l’enculé Voyer est à ce niveau :
paraître, frimer, tricher, provoquer, falsifier si nécessaire,
mentir, calomnier par conséquent. Un exemple ? Il est offusqué
parce que les téléologues rejettent la gloire. Comment le
sait-il, puisqu’il prétend n’avoir lu que deux messages
téléologues parus avant qu’ils ne rejettent publiquement la
gloire ? De deux choses l’une : soit il les lit en cachette,
et il ment en continuant de soutenir qu’il n’a lu que deux
messages de téléologues ; soit c’est une information de
seconde main et, comme Kabouli, il parle de ce qu’il ne
connaît pas.
La queue entre les jambes, l’imprudent
imbécile permanent Kabouli voudrait que je discute maintenant
d’autre chose que de ses calomnies et de ses crapuleries. Mais
Kabouli m’est aussi indifférent que la pute voyériste Toto ou
le dessinateur Siné : je veux seulement montrer en quoi
consiste ce petit gang d’intellectuels ratés dont les petites
provocations adolescentes mal digérées sont la chose la plus
intéressante, même si elle est toujours superficielle et
rarement amusante, de Kabouli à Voyer. C’était là encore le
rôle des sophistes, avant Socrate puis à Rome : pointer,
parfois, grâce à leur fatras de faussetés, un
dysfonctionnement de la pensée argumentée. Faire les pitres en
public, se gorgiariser de leur propre parole, parce qu’elle
n’a pas d’autre sens que le plaisir de parler, ou comme aurait
dit l’OT, de péter en public. Ainsi, la secte voyériste est
d’une certaine utilité pour cette société. Ce sont des
francs-tireurs, avec beaucoup de déchet et une malhonnêteté
considérable et permanente, qui valide la malhonnêteté
ambiante. Le voyérisme est une rénovation du pseudos. Depuis
que la lignée royale de la pensée philosophique, de Parménide
à Hegel, s’est effondrée, ce retour des sophistes, qui
symbolise si bien la perte du sens, de la vérité et de
l’honnêteté, est significatif d’une époque qui cherche encore
son discours.
PS : Le néosophiste Voyer a bien sûr été
contraint par l’OT de reconnaître qu’Economy aussi existe, ce
qui avait beaucoup amusé les téléologues, qui imaginaient la
tête des voyéristes découvrant un tel aveu : mais ils
n’avaient pas imaginé que les voyéristes nieraient tout
simplement ce revirement, comme le Kabouli, qui a carrément
occulté ou ignoré cette reculade forcée du maître, et en est
resté au coup « publicitaire » mensonger qui l’a fait entrer
dans la secte. Mais soyez tranquille, il va vite s’aligner sur
le nouveau dogme, contraire du précédent qui lui permet
d’affirmer : « l’inexistence de l’économy est largement
prouvée chez Voyer ». Voyer s’est maintenant retiré dans
l’idée géniale qu’Economy, qui existe bel et bien en tant que
« concept », n’est seulement aucune chose. Il faudra peut-être
lui montrer là aussi l’absurdité de cette pirouette ridicule
et désespérée et dératiser ce dernier refuge du gourou
sophiste. On pourrait d’ailleurs commencer en citant l’ahuri
Kabouli : « il y a des choses intellectuelles, des idées, des
pensées », comme Economy, qui est exactement cela : une chose
intellectuelle, une idée, une pensée ; en tout cas une
chose.
Les téléologues ont critiqué le matérialisme de
Voyer, que je trouve honteux et résiduel, dans le texte
‘L'économie est une pensée. Toute pensée existe. L'économie
existe’. Si mes souvenirs sont bons, lorsqu’ils s’étaient
moqués de la Substansu du comique troupier Weltfaux, ils
avaient déjà remarqué que cette idée bouffonne était
construite sur un « ça ne mange pas de pain » chez Voyer, qui
permettait de croire qu’il gardait entrouverte la porte du
matérialisme le plus Kabouli.
Les falsificateurs falsifiés « Reply #3
on: 24.01.04 at 17:12:17 »
"Adreba
Solneman" est apparu dans l'unique but falsificatoire de
masquer la signature de la BE afin de tromper Voyer sur
l'origine de la première bafouille. Conséquemment, la
falsification est une propriété consubstancielle à "Adreba
Solneman". Admettons que la signature d'"Adreba Solneman" ait
été falsifié par la substitution d'une espace (dans l'espace
personne ne vous entend pleurnicher), conséquemment la
falsification falsifiée n'est pas plus une falsification
qu'avant, comme un faux faux billet n'est pas plus faux qu'un
faux... à moins d'être vrai. Et si un véritable Adreba
Solneman avait trouvé insupportable qu'au ridicule de son nom
"on" ajoute le pathétique d'une bande de branleurs ?
Re: Nouvelles du front « Reply #4
on: 24.01.04 at 17:31:48 »
Feu
l'Observatoire nous apprend que "la lignée royale de la pensée
philosophique, de Parménide à Hegel, s’est effondrée"
C'est très fort, surtout de la part d'imbéciles qui se
targuent de philosophie alors qu'il n'ont visiblement
toujours pas compris ce qu'est qu'une simple
représentation.
Quand Voyer nous indique qu'il y a en
anglais deux mots pour rendre "économie", ce n'est pas pour
tenter de prouver quoi que se soit. Tout le monde ici à part
vous avait déjà très bien compris ce qu'il voulait dire par
"l'économie n'existe pas". L'effort maïeutique qu'il a déployé
à votre égard était visiblement trop courtois pour être
compris par des malcomprenants de votre espèce.
Script d’une falsification à
répétition « Reply #5 on: 25.01.04 at 11:48:42
»
Le
23 janvier à 11111, Adreba_Solneman publie un message intitulé
Nouvelles du front.
Le 24 à 22222, plus de dix heures
après 111111, le falsificateur Fantomas poste sa réponse. Elle
ne dit rien d’autre qu’Hello, mister Solneman. Le corps du
message est vide. Le falsificateur n’exprime rien d’autre que
son propre vide. Quand il répond, le 24 à 22222, il ne
falsifie personne. Or le falsificateur n’est à l’aise que
quand il falsifie.
Le 24 à 33333, obtologie répond à
Adreba_Solneman et à Fantomas.
Le 24 à 44444, 2004
répond à Adreba_Solneman, à Fantomas et à obtologie. Les
réponses au message d’Adreba_Solneman viennent se mettre les
unes après les autres dans ce qu’on appelle un fil de
discussion, qui porte le nom du premier message du
fil.
Le 24, à 44444, le fil intitulé Nouvelles du front
est composé d’un message initial et de trois réponses. A
55555, aussi. A 66666, encore.
Le 24, à 77777, le fil
est toujours composé d’un message initial et de trois
réponses, mais ce ne sont plus les mêmes réponses qu’à 66666.
En douce, le falsificateur a falsifié le fil. Rien ne le
signale sur la page d’accueil du Debordel, ni sur la page du
tableau Le nouveau Debordel est ici : le fil ne remonte pas.
En apparence, c’est toujours 2004 qui a le dernier mot (au
sens formel du terme) dans le fil. Le falsificateur commence à
se sentir bien. Il dénature la suite logique des réponses du
fil. Il remplace son message par un autre. Il change le titre
du message et il met une petite bafouille dans ce qui était
vide jusqu’ici. La réponse de 2004 n’est plus pertinente. 2004
semble n’avoir pas répondu à une petite contradiction que
Fantomas aurait relevée dans le texte d’Adreba_Solneman. 2004
partait du vide de la réponse initiale de Fantomas, ce qui n’a
plus le même sens à partir du moment où le falsificateur
commence à remplir son message.
Moins de deux heures
après, à 88888, le fil démarré par Adreba_Solneman et auquel
il avait été fait trois réponses à 22222, puis une quatrième à
77777, vient s’enrichir d’une nouvelle réponse, qui remplace
une fois de plus la seule réponse en apparence de l’enculé. Ni
vu ni connu. Last Edit nous signale que le message est
modifié, mais ne nous dit évidemment pas en quoi. Pas de
marque de révision. L’enculé fignole sa première retouche, met
du gras pour faire joli et revendique le juste droit du putsch
sur la signature commune. Moi, mes droits, mes
besoins.
Aujourd’hui 25, à 99999, le fil démarré par
Adreba_Solneman comporte deux nouvelles réponses. Aucun des
deux nouveaux ne s’est plaint de la falsification du fil. Et
pour cause, ce sont des voyérisateurs déclarés. Toutes les
saloperies seront justifiées. Mais le premier voudrait trouver
une excuse au falsificateur. C’est pourquoi il tente de faire
porter l’opprobre de falsification à Adreba Solneman. Ces
voyérisateurs croient-ils vraiment qu’ils arriveront à
inventer un soupçon de malhonnêteté qui pourrait faire oublier
la leur ? L’autre préfère agir comme le falsificateur : il a
déjà viré la signature de fin, Le faux obtologie.
Le
25, à 1010101010, l’enculé proute un Prout qui efface toutes
les modifs précédentes.
Aujourd’hui 25, à 11111111, je
vais faire un flash-back et m’occuper du soupçon d’argument de
l’enculé Fantomas, qui isolait un bout de phrase
d’Adreba_Solneman avant sont dernier Prout ["« n’a pas
besoin » prétendez-vous. Ça ne se dirait pas pourtant, vu
votre occupation permanente des lieux sous divers pseudonymes.
Si ce que vous prétendez est vrai, pourquoi venez-vous faire
la retape ici ? Vos actes démentent vos paroles."].
«
Vos actes démentent vos paroles. » Ce qui voudrait dire que si
le Debordel n’est pas nécessaire pour critiquer la théorie de
la communication infinie, eh bien tout ce qui critique encore
l’enculé Voyer ici et maintenant est en contradiction avec ce
qu’affirme Adreba_Solneman. Et qu’Adreba_Solneman est déjà en
contradiction avec son propre déclaratif. Pour ma part, voici
ce que j’entends : la théorie de l’enculé Voyer sera
critiquée, que ce soit ici ou ailleurs.
Si moi je dis,
je n’ai pas besoin d’aller au restaurant, cela ne veut pas
dire que je n’irai pas. Si Adreba_Solneman dit qu’il n’a pas
besoin de venir sur le Debordel, cela ne veut pas dire qu’il
n’y vient pas ou qu’il n’y viendra pas. On sent bien la
crainte que des téléologues ne restent sur ce site. A moins
que ce ne soit de l’utilitarisme qui voudrait que l’on
n’agisse que par le besoin.
Débinade du falsificateur dans ce
fil «
Reply #6 on: 27.01.04 at 20:10:10 »
Aujourd’hui 27 janvier 2004, le
message posté le 24 janvier par le falsificateur dans ce fil a
été supprimé, par le falsificateur.
Ce message était
une réponse directe à Adreba_Solneman. C’était la première
réponse de ce fil. Aujourd’hui, pour un nouvel arrivant sur le
site, cette réponse n’a jamais existé. Le contenu de ce
message a été manipulé de nombreuses fois avant cette
manipulation définitive. Son dernier contenu était toute la
pensée de Voyer depuis quinze ans : prout. Mais après le
message intitulé Petit point sur la falsification voyériste,
où cette identité entre toute la pensée de Voyer et ce mot
magique était expliquée, il a logiquement préféré escamoter le
contenu, quitte à supprimer l’ensemble du message.
Le
falsificateur est incapable d’une réponse directe. Là, il a
essayé pendant soixante-douze heures avant de se débiner. Il
se débine toujours. Aujourd’hui, comme Voyer en 1992, il se
débine devant Adreba_Solneman. Il est obligé de s’installer
dans un bocal, où il peut falsifier, seul, en se donnant en
spectacle.
Parfois, pense-t-il, le spectacle exige un
simulacre de dialogue. Mais pour ce falsificateur, tout
face-à-face est impossible et intenable. Cette mise en scène
d’un semblant de dialogue, due à cette incapacité
pathologique, était déjà la façon de faire de Voyer avec
Adreba Solneman en 1991, quand il a mis en scène, dans
l’Imbécile de Paris, un faux échange privé pour la
galerie.
Falsificateur une fois, falsificateur
toujours.
A chaque fois qu’il retouche un message ou
qu’il le supprime, le falsificateur falsifie le fil entier,
fait mentir les autres réponses. La suppression de message
dans un fil est une autre forme de la falsification. C’est
comme de supprimer la trace de personnages dans les photos de
Staline. Et, contrairement à Staline, le falsificateur du
Debordel n’a pas besoin de police pour arriver au même
résultat.
Saloperie intellectuelle une fois, saloperie
intellectuelle
toujours.